Il se passe des choses étranges dans le métro, c’est un fait indiscutable. Mais il y a aussi des vérités inavouées. Et la vérité, c’est que le bon air de la coupe du monde 98 file toujours dans les couloirs mais surtout sur les quais. Mais si vous savez ce refrain Ô combien fair play et modeste : et 1 et 2 et 3… Zéro.
Et bien à la RATP c’est pareil quand toi, tu prends (enfin tu essayes) de chopper une rame à l’heure de pointe. Ce qui équivaut à peu près à mettre une nouvelle paires de pompes dans un placards à chaussures de filles (impossible), sur le quai d’en face les 3 péquins qui attendent leur rame eux, peuvent monter, choisir leur siège car il y a ce qu’il faut. S’asseoir, s’allonger même. Et ce trois fois de suite.
Car oui tout le temps où tu attends ton pauvre train qui de toute façon faute de place repartira bondée et sans toi, tu peux en général en compter 3 vides en face. Et 1 et 2 et 3… zéro, sauf que là on s’inspirerait bien non pas des deux buts de Zizou mais de son coup de boule légendaire pour se faire une petite place parmi les in-civilisés des transports. Mais ceci est une autre histoire.
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