Parce qu'il faut bien être sérieux de temps en temps j'ai décidé de renouer avec quelques vieilles traditions et vous faire profiter de la petite pellicule que je suis allée voir lundi dernier.
Alors comme il s'agit là d'un papier des plus sérieux, je vais, à mon grand regret je dois le reconnaitre, passer sous silence les petits travers de la salle dans laquelle je suis allée déguster l'oeuvre et vais entrer direct dans le vif du sujet.
Limitless.
Film américain de Neil Burger avec le petit blond en vogue aux US : Bradley Cooper et Monsieur Robert de Niro que l'on ne présente plus.
Soyons honnête, comme la plupart des filles qui iront s'enfermer dans les salles obscures pour voir ce film, j'ai vais surtout pour Bradley, dont les yeux me fascinent depuis le pilote d'Alias en 2001.
Et au moins je ne suis pas déçue pour ça. Le film repose à 90% sur lui, laissant en plan les seconds rôles quasi inexistants et même notre bon vieux Bebert parait un peu effacé face au jeune qui monte.
Marrant quand on sait que Cooper est devenu acteur pour ressembler à de Niro (explication fourni dans le 20 heures de TF1 par l'intéressé lui même et en français svp !)
Et au moins je ne suis pas déçue pour ça. Le film repose à 90% sur lui, laissant en plan les seconds rôles quasi inexistants et même notre bon vieux Bebert parait un peu effacé face au jeune qui monte.
Marrant quand on sait que Cooper est devenu acteur pour ressembler à de Niro (explication fourni dans le 20 heures de TF1 par l'intéressé lui même et en français svp !)
Sinon que dire du film... un long-métrange sympatoche mais sans plus, un peu long quoi que bien ficelé, une intrigue prévisible tournant autour d'une petite pilule miracle aux allures de boutons de chemisier qui décuple les facultés du cerveau (hum intéressant).
Quelques petites choses qui coincent ici où là, une ou deux touches d'humour sauce américaine et des effets de caméra un peu trop égocentrique qui laisse le spectateur un poil nauséeux sur son siège.
Messieurs les réalisateurs, ce n'est pas parce que vous trouvez un effet wow qu'on a pas vu dans un film depuis 5 ans qu'il faut le refourguer toutes les 3 scènes, sachez la ! Donc la mise en abîme c'est bien, mais ça doit rester occasionnel, même sous LSD :)
Bref pour résumer : vive Bradley Cooper !
Quelques petites choses qui coincent ici où là, une ou deux touches d'humour sauce américaine et des effets de caméra un peu trop égocentrique qui laisse le spectateur un poil nauséeux sur son siège.
Messieurs les réalisateurs, ce n'est pas parce que vous trouvez un effet wow qu'on a pas vu dans un film depuis 5 ans qu'il faut le refourguer toutes les 3 scènes, sachez la ! Donc la mise en abîme c'est bien, mais ça doit rester occasionnel, même sous LSD :)
Bref pour résumer : vive Bradley Cooper !
ps : petit clin d'oeil à l'actrice qui joue Chuck dans Pushing Daisies, un réel plaisir de la revoir même furtivement !
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